Le groupe Stellantis a indiqué avoir procédé au remplacement de 50.000 airbags potentiellement défectueux sur les 530.000 véhicules rappellés le mois dernier, soit un peu moins de 10% du total.
Une premier pas pour sortir d’une grave crise de confiance. Stellantis a affirmé à BFMTV que « 50.000 airbags ont déjà été remplacés » sur un total de 530.000 véhicules rappelés en Europe, dont 230.000 en France, soit un peu moins de 10% du total.
Des modèles Citroën C3 et DS3 produits entre 2009 et 2019 équipés d’airbag fournis par l’entreprise japonaise Takata. Une entreprise qui équipait de nombreux constructeurs, mais qui a déposé le bilan en 2017, en raison justement de son implication dans ce scandale des airbags défectueux, avec des dizaines de morts recensés à travers le monde.
« La campagne de rappel en cours « stop drive » concerne les 530.000 véhicules DS3 et C3 fabriqués entre 2009 et 2019 et équipés d’une référence spécifique d’airbags Takata pour lesquels un risque a été identifié », avait indiqué Stellantis dans un communiqué diffusé la veille et alors que 8 millions de véhicules pourraient être concernés au total en Europe.
« Aucun risque n’a été identifié pour d’autres modèles équipés d’autres composants », ajoutait le groupe, ajoutant que « les risques associés aux coussins gonflables Takata sont continuellement surveillés et gérés par des rappels de routine ».
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