une femme offre 200 euros à quiconque retrouvera Monsieur Kiwi, volé

La propriétaire du perroquet Monsieur Kiwi, disparu en Indre-et-Loire dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 novembre, a porté plainte auprès de la gendarmerie. Elle estime que son animal a été volé pour être revendu.

« J’étais stupéfaite, ça m’a coupé le souffle. » Une femme vivant en Indre-et-Loire, Claire Albert, a déposé plainte auprès de la gendarmerie d’Amboise après que son perroquet, Monsieur Kiwi, a disparu dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 novembre. Ce youyou du Sénégal, âgé de 8 ans, était, avant de disparaître, dans le magasin de fleurs dans lequel elle travaille à Pocé-sur-Cisse.

« Je pensais qu’il allait faire sa vie avec moi. J’adorais ce perroquet, il était très affectueux », a-t-elle déclaré à France 3 Centre-Val de Loire.

Elle assure auprès de France Bleu que les portes de son commerce ont été forcées et que son perroquet, « son bébé », a été volé « pour être revendu par des trafiquants ».

« Vraiment, je suis en colère, révoltée que l’on puisse voler un animal comme cela », a lancé la fleuriste estimant qu’il peut être revendu « 200 à 300 euros ».

« Tout le monde était content de le voir »

Claire Albert avait déplacé Monsieur Kiwi sur son lieu de travail depuis plusieurs mois, en accord avec son employeur. Le but étant que ce perroquet ne souffre plus de solitude et divertisse les clients. « Tout le monde était content de le voir, même les gamins, c’était ça que j’aimais bien, c’était l’ambiance quoi », a-t-elle assuré à France Bleu.

Outre la plainte déposée par Claire Albert, ainsi qu’une autre par le gérant du commerce, la propriétaire du perroquet a diffusé l’image de l’animal sur les réseaux sociaux. Et elle propose à quiconque qui lui rapportera son Monsieur Kiwi une récompense de 200 euros.

« J’offre une récompense de 200 euros à celui ou celle qui me rapporte mon Monsieur Kiwi. Il va tellement me manquer », a-t-elle dit à France 3.

Avant d’ajouter auprès de la radio locale: « De l’argent, je n’en ai pas forcément beaucoup mais je m’en fous, mon perroquet, c’est mon bébé. C’est comme voler un enfant. »

Claire Albert affirme que des perroquets avaient déjà été volés dans ce même commerce il y a cinq ans et suspecte un trafic d’oiseaux dans la région de Pocé-sur-Cisse. Interrogée par France Bleu, la gendarmerie d’Amboise assure qu’un tel trafic n’existe pas.

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