"On assiste à la déliquescence d'un système", pour Patrick Pelloux (président de l'Association des médecins urgentistes de France)

Plusieurs services d’urgences fonctionnent au ralenti du fait d’un manque de moyens et de personnel, induit notamment par des départs en vacances d’été non remplacés et des indemnités de garde jugées trop faibles par certains intérimaires.

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