
Le bannissement du réseau social prisé des pro-Trump pousse les groupes d’extrême droite à se réorganiser, ce qui complique leur surveillance.

© EyePress News via AFP
Par Claire Meynial, envoyée spéciale à Washington
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Sur la photo, ils forment des myriades de points rouges, posés sur les pelouses, les allées délicatement courbées, le bâtiment et même sa coupole : ce sont les géolocalisations des vidéos postées sur Parler depuis le Capitole, le 6 janvier, à Washington. Une hackeuse a extrait, avant la suspension du réseau social, tout ce qui y avait été posté. Et, parmi les 70 000 posts de ce jour-là, le site Gizmodo a isolé et géolocalisé 618 vidéos. L’appli qui se voulait celle de la « liberté d’expression » pourrait bien aider le FBI à identifier ceux, parmi ses utilisateurs, qui ont envahi le Capitole…
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